Interview d’Eliah Peyrouze, co-fondateur de Cupdom et participant à QVEMA
Rencontre avec Eliah Peyrouze, co-fondateur de CUPDOM et participant à la saison 4 de Qui veut être mon associé, pour un échange riche et passionnant.
Bonjour Eliah, pouvez-vous nous parler de votre parcours ?
Bonjour, je m’appelle Eliah Peyrouze, j’ai 21 ans et je suis le co-fondateur de CUPDOM.
Mon parcours scolaire a été compliqué, étant donné que je suis hyperactif, hypersensible et que j’ai un trouble de l’attention. Un véritable patchwork qui a contribué à faire de moi un élève hors norme en référence au moule scolaire classique. Néanmoins, dès qu’un sujet m’intéressait, je ne lâchais rien !
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Vous avez fait l’Ecole Diagonale en Sciences et Technologies du Management et de la gestion. Pourquoi avoir fait cette école ? En quoi est-elle singulière ?
J’ai passé mon bac à l’école Diagonale car j’ai intégré un centre de formation de Rugby en première, et il fallait donc que je trouve un établissement sport-étude ; Diagonale est le seul lycée que je connais qui propose un vrai cursus sport-étude. J’ai pu continuer les cours et ma passion. De plus, je me suis tout de suite senti très à l’aise dans cet établissement qui n’a qu’un objectif : faire ressortir les meilleurs de ses élèves.
Par ailleurs, votre parcours est empreint d’une passion pour le rugby, avec un parcours à haut niveau. Quels sont les parallèles à faire entre le rugby et le monde professionnel ?
Le Rugby m’a énormément appris, et j’applique toutes ces choses dans mon quotidien, la vie en général, et dans le travail ; au rugby, j’ai appris le respect, l’esprit d’équipe, être un guerrier, le leadership, la rigueur, la discipline, la confiance en ses coéquipiers et encore une fois à ne rien lâcher.
En avril 2022, vous lancez votre propre entreprise : CUPDOM. Comment s’est déroulée l’idéation du projet ? Quelles sont les principales étapes avant la naissance du projet ?
En avril 2022, nous avons lancé CUPDOM. Beaucoup de nos amis ont été drogués à leur insu, dont un de nos amis qui a failli en mourir. Cet épisode a été traumatisant pour nous, on avait peur de sortir et on s’est ensuite demandé comment sortir sans peur juste pour s’amuser ? CUPDOM est née de cette réflexion, nous avons créé une protection qui permet à tous de sortir pour simplement s’amuser et retrouver le goût de la fête en dehors de chez nous.
Qu’est-ce qu’apporte concrètement CUPDOM aux personnes ?
CUPDOM apporte de la sérénité aux personnes qui l’utilisent et leur permet de s’amuser sans craindre pour leur vie, leur portefeuille ou autre. CUPDOM est la protection qui empêche de se faire droguer lors de n’importe quel événement. (Même au Sénat, il y a des victimes de soumissions chimiques…)
Quels sont les projets d’avenir pour CUPDOM ?
Nous voulons que CUPDOM devienne la référence dans la protection des consommateurs en milieu festif et que tout le monde connaisse notre combat et adopte le geste CUPDOM. La prévention auprès des jeunes fait partie intégrante de notre stratégie de développement.
Vous allez passer dans l’émission Qui veut être mon associé. Comment cela s’est passé ?
Nous allons passer dans « Qui veut être mon associé », je ne peux rien dire pour le moment, mais l’expérience est incroyable et pouvoir pitcher devant ces investisseurs, c’était juste dingue. CUPDOM a levé 30 000€ auprès de Stéphanie Delestre 6% (15 000 euros) et Anthony Bourbon 6% (15 000 euros)
Qu’est-ce que cela vous a apporté pour le présent et surtout l’avenir ?
L’émission nous permet d’exposer notre combat auprès du plus grand nombre et d’avoir l’avis d’experts sur notre vision de ce sujet qui relève, selon nous, d’un sujet de santé publique.
Ainsi, quel est votre quotidien en ce moment ? Qu’avez-vous fait hier par exemple ?
Mon quotidien est de développer l’activité de CUPDOM, faire de la comptabilité, de la prospection, de la communication, de faire connaître notre combat, enfin tout avec mes associés et amis Alois et Maxime.
Le mot de la fin
Écoutez-vous, croyez en vous et ne lâchez rien.
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